PRÉNOM(S) Sebastian, Allan, Stefan  NOM Roscoe  ÂGE 35ans LIEU DE NAISSANCE Londres, Angleterre SITUATION FINANCIÈRE Bonne, très bonne même, héritier d'une famille très riche, quoi ? vous n'avez jamais entendu parler des entreprises Roscoe ? SITUATION FAMILIALE Il se montre courtois avec ses parents mais n'a jamais réellement éprouvé de l'affection pour ses derniers, trop absents durant l'enfance. Il est fils unique et n'a jamais eu d'enfants. ORIENTATION SEXUELLE hétérosexuelle  ÉTAT CIVIL veuf, il a perdu sa femme il y a cinq ans. DIVISION professeur SPECIALITES il enseigne l'histoire du cinéma, une passion qu'il possède depuis l'enfance. ANNEE D'ETUDES Il a commencé à enseigner cette matière à l'âge de 24ans, et même s'il a du se mettre en arrêt quelques mois lors du décès de sa femme, Julia. Il occupe ce poste depuis dix ans.

Apaisant, sans vraiment savoir pourquoi, Julia lui répêtait souvent qu'à ses côtés, elle se sentait en sécurité. • Calme • Courtois, il se montre poli en toutes situation même si parfois, il bouillonne à l'intérieur, pour lui, un bon discours vaut mieux qu'utiliser ses points • Parfois cynique, surtout après ce qu'il a perdu • Fidèle, que ce soit en amour ou en amitié, pas facile à obtenir mais il vouera ensuite un culte inconditionnel à ceux qu'il aime • Introvertie, il passe parfois même pour quelqu'un de renfermé • Réfléchi • Peu bavard, sauf lorsqu'il parle de cinéma •  Mystérieux • Passionné, il peut vous scotcher à un sujet durant des heures • Solitaire • Sensible • Discret • Dur, surtout avec ses élèves, il éxige le meilleur et en général, il l'obtient • Franc • Rationnel, pas de décisions irréfléchies, jamais, car il aime aussi contrôler les choses • Tolérant • Maniaque, c'est un accroc du rangement, il a même quelques tocs, certaines choses doivent être à leurs places • Attachant.

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Le quart d'heure décisif

Vous entrez dans le bureau, c'est l'heure de passer votre entretien, l'examinateur est assis, là, à son bureau, il vous attend, vous salue poliment et vous invite à prendre place. C'est maintenant que tout va se jouer. Votre place ici, votre avenir... Vous avez quinze minutes, top chrono. Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ? Je me nomme Sebastian Roscoe, je suis professeur de l'histoire du cinéma dans cet établissement depuis maintenant dix ans. Que dire de plus ? Je suis toujours mal à l'aise avec ce type de questions trop vagues. D'accord, très bien. Et pourquoi le Royal College of Art ? Pourquoi Londres ?  J'ai grandi et toujours vécu à Londres, je m'y sens chez moi, J'ai évidemment visiter des tas d'autres endroits mais aucune autre ville n'a cette aura. Quant à le choix de l'école, partager mon savoir avec les futurs meilleurs est un honneur car cette école fournie les meilleures possibilités de travail. Intéressant... Avez-vous des modèles? D'où vous vient votre inspiration pour créer ?  Mon réalisateur préféré et mon modèle restera à jamais Hitchock, mais beaucoup d'autres "grands" personnages historiques ont aidé dans mon choix de faire ce métier aujourd'hui : James Dean, David Fincher, plus récemment Jim Carrey. Qu'est-ce qui est le plus important dans votre vie ?  Mon métier, sans aucunes hésitation, j'y met tout mon coeur, simplement car c'est aussi ma plus grande passion. Ce n'est pas donné à tout le monde de se lever le matin avec plaisir pour se rendre au boulot. Préférez-vous travailler seul(e) ou en équipe ?  Je suis plutôt quelqu'un de solitaire mais je dois avouer qu'une équipe est souvent nécessaire pour obtenir les meilleurs résultats. Avez-vous des rituels, des petites habitudes qui vous permettent de vous sentir mieux ou de diminuer le stress ?  Je fume, beaucoup, trop je suppose mais je suis dans l'incapacité de stopper cette mauvaise habitude, c'est pas faute d'avoir essayé les patchs. Mais le remède à tous les maux est pour moi le cinéma, assis dans cette salle sombre, j'en oubli les tracas du quotidien. Quel(s) moyen(s) de transport utilisez-vous pour vous déplacer en ville ? J'utilise le vélo ou le métro, parfois le taxi car la voiture en centre ville, mon dieu, quelle horreur. Quel est votre souvenir d'enfance le plus marquant ?  C'était en hiver, il avait beaucoup neigé cette année là et Christina, la jeune fille au pair qui s'occupait de moi avait comme règle stricte : ne pas sortir car je risquais de tacher mes vêtement, un jeune homme bien élevé ne se salissait pas. Seulement, sur le rebord de la fenêtre à fixer cette blancheur parfaite, elle avait fini par succomber et on avait construit un igloo me faisant promettre que ce serait notre petit secret. Quelle a-été votre expérience la plus terrifiante ?  Mon premier jour à l'académie, les mains moites, tremblantes, j'avais bégayé pendant toute la journée. Heureusement, j'ai fini par gagner en assurance. Selon vous, qu'est-ce qui est essentiel au travail de l'artiste ? Le concentration, la rigueur et un brin de folie. Quel est votre plus grand projet? Ma vie me convient telle quelle, du moins, c'est une question que je ne me suis pas posé depuis des lustres. Des projets, j'en avais beaucoup avant le décès de Julia. En cas d'échec, quels genres de professions pourraient vous intéresser ? Je suis professeur et même ma dépression nerveuse n'a pas suffit à me déloger, alors je suppose que vous êtes coincés avec moi. De toutes manières, je ne me vois pas exercer un autre métier. Une dernière petite question pour finir, quels sont les trois artistes auxquels vous aimeriez un jour être comparé ? Et pourquoi ? Jimmy Hendrix, ce mec était un dieux de la guitare, Charlie Chaplin, car il a su renouveler le monde du cinéma de façon exponentielle et Alfred Hitchcock comme je le disais plus tôt, car cet homme reste le meilleur en ce qui concerne la réalisation.

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PRÉNOM/PSEUDO juliette ÂGE 21ans OU AVEZ-VOUS DÉCOUVERT SO ? Top site Obsession il me semble. VOTRE PERSONNAGE EST... inventé. UN PTIT MOT ? rien à dire, ce forum est très beau. J'attends un peu avant de le survalidé, mais ça devrait se faire rapidement !.

Je revois très bien l'enfant que j'étais souffler ses bougies, seul devant ce gâteau acheté en boulangerie par la bonne. Entourée de beaucoup de camarades, mais dans le fond, les seuls dont la présence serait indispensable ne sont pas là : mes parents. Parce qu'une fois de plus, ils avaient du boulot, cette sempiternelle excuse qui m'a fait promettre que si un jour j'avais des enfants, je ne reproduirais pas ce schéma égoïste. J'ai grandi dans un foyer flétri par l'argent et le pouvoir, étonnement, je m'en suis mieux sorti que la plupart de mes congénères, je n'ai pas sombré dans la drogue comme la plupart de ses gamins avec une carte de crédit à la place du cerveau, car pouvoir tout obtenir n'aide pas dans la construction de l’identité. Moi j'ai rencontré Julia, grâce à Rebecca. Elle a toujours été là pour moi, elle me comprend mieux que personne. Elle fait d'ailleurs de moi quelqu'un de bien, alors que j'aurais pu plonger, me vautrer dans une existence merdique, celle que m'a imposé la vie, elle a réussi à me montrer que finalement, tout finirait par rentrer dans l'ordre. Dans une famille de six frères et sœurs, elle avait les pieds sur terre.

Le truc, c'est que lorsque la personne qui vous fait vibrer vous quitte, vous passer par de nombreuses phases : numéro 1, le déni. Car le choc est trop brutal, car admettre qu'elle ne reviendra jamais est trop difficile, alors on préfère fermer nos émotions et agir comme des zombies. Suivit de près par la colère : ma classe de 2008 pourra vous en donner des nouvelles, le jour où j'ai envoyer valser mon bureau car je venais de retrouver une photo de la femme de ma vie dans le tiroir de ce dernier. J'ai blessé un élève ce jour là, heureusement pour moi, il s'en ai sorti sans séquelles graves et a décidé de ne pas porter plainte. Du coup, j'ai été gentillement convié à prendre des congés pour une durée indéterminée, alors seul chez moi, j'ai dérouillé, chaque recoin me rappelait ma belle et la douleur était trop perçante pour que je sois en capacité de comprendre. Et nous voilà gaiement arriver à cette merveilleuse phase de dépression, alcoolisme notoire, je me suis laissé totalement aller. Si ce n'était pas pour Rebecca, je serais sur mon canapé à vider des bières. Sans elle, je n'aurais jamais accepté que l'on m'enlève l'être le plus cher à mes yeux.

Alors voilà, j'ai continuer à enseigner, me laissant aller à ma passion, noyant ce chagrin trop puissant dans le travail. J'ai d'ailleurs eu la chance d'être accepté par le directeur, car après ma mauvaise pub pour l'établissement et mon "arrêt" de deux ans, il aurait pu me laisser croupir dans mon appartement. Aujourd'hui, je me raccroche à ce métier je j’idolâtre et durant mon temps libre, je vais au cinéma ou je passe du temps avec ma meilleure amie, Rebecca.

Choix d'avatar parfait, pour commencer
Ton personnage est vraiment attachant, surtout vis à vis de ce qu'il a vécu, de ce que représente son boulot, etc. J'ai bien aimé lire ta fiche ! Fais tout de même attention à l'orthographe, j'ai vu quelques fautes par ci par la, même si ce n'est rien de gravissime
Je te valide tout de suite, bon jeu sur Standing Ovation